Les vendeuses de la plupart des marchés kinois en général et de Matadi Kibala en particulier se complaisent à vendre dans la crasse sous la pluie et/ou après celle-ci au mépris des règles élémentaires d’hygiène universellement admises. c’est ce qu’ont constaté sur place ce mercredi matin, nos reporters
« Le noir ne meurt pas de microbes ». Cette fausse idée reçue qui justifie l’environnement insalubre dans lequel on se complaît au quotidien, est en train de trouver assise dans les marchés kinois.
À coté des immondices, on vend a même le sol, des produits vivriers de toutes sortes, même ceux destinés à être consommés directement.
On y trouve des eaux stagnantes où nagent les asticots et autres bestioles, boues et ordures charriées par les pluies, auxquelles s’ajoutent les immondices des dépôts sauvages des vendeurs, les marchés sont devenus de véritables dépotoirs.
« Le noir ne meurt pas de microbes ». Cette fausse idée reçue qui justifie l’environnement insalubre dans lequel on se complaît au quotidien, est en train de trouver assise dans les marchés kinois.
À coté des immondices, on vend a même le sol, des produits vivriers de toutes sortes, même ceux destinés à être
C’est à se demander si cette situation interpelle ceux qui outre les comités de marchés, sont chargés de les gérer au plus haut niveau.
Chaque jour pourtant , chaque vendeur est astreint au payement d’une taxe qui ne profite pas aux usagers.
En temps de pluie, les marchés deviennent de véritables pataugeoires. Gare à ceux qui s’y aventureraient bien habillés. Vêtements et chaussures en ressortissent bien abîmés.
A la faveur de la chaleur, l’odeur pestilentielle qui émane des immondices ou autres effluves des restes organiques en décomposition, rendent l’atmosphère suffocante et irrespirable. Même si on « fait son marché » au pas de course, on en ressort hors d’haleine, la gorge nouée.
Dire que vendeurs et vendeuses vivent au long de la journée dans cet environnement malsain, c’est là qu’ils mangent et boivent, tout en se gavant de cet air qui dépose dans les poumons toutes sortes de microbes contenus dans l’air ambiant.
A une certaine époque pas tres lointaine, les communes ont été dotées par l’état de véhicules d’assainissement qui malheureusement ont fini par orner les façades des milieu où ils sont exposés, quand ils n’assurent pas le transport de sable ou gravier de qulelques autorisés. Quand bien même ils sont commis à la tâche, celle-ci demeure inachevée.
Les détritus sortis des collecteurs et autres caniveaux restent sur zone jusqu’à ce que la pluies ou les passant les y renvoient.
Même si « le noir ne meurt pas de microbes », dit-on, les pathologies telles la fièvre typhoïde ou la « gastro » naguère rares , quand la salubrité et l’hygiène publiques étaient parmi les préoccupations prioritaires des autorités municipales d’une certaine epoque, ces pathologies disons-nous, emportent ad pâtres les congolais.
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