Les sciences humaines, l’histoire et l’éducation ont un rôle vital à jouer dans le développement sociopolitique de la République Démocratique du Congo (RDC). À travers les écrits et les travaux de l’éminent historien congolais, Isidore Ndaywel è Nziem, nous explorons l’importance de ces domaines dans la transformation de la nation et dans la création d’une élite engagée pour l’avenir du pays.
Comprendre le contexte
Isidore Ndaywel è Nziem, historien de renom et membre éminent de plusieurs académies, souligne le rôle critique de l’enseignement dans l’évolution du pays depuis l’ère coloniale jusqu’à nos jours. Cependant, il met en lumière un malaise quant à l’engagement et à la responsabilité de cette élite dans la construction de l’avenir de la RDC.
L’urgence d’une implication politique
Les sciences humaines, l’histoire et l’éducation ne doivent pas seulement observer passivement le cours de l’histoire nationale, mais plutôt y participer activement. Il est impératif que ces domaines s’engagent politiquement pour influencer positivement le développement sociopolitique du pays.
Le legs d’Isidore Ndaywel è Nziem
Né le 7 février 1944 à Ipamu, Isidore Ndaywel è Nziem est une figure emblématique de l’histoire et de l’éducation en RDC. À travers ses nombreux ouvrages, il a contribué à une meilleure compréhension de l’histoire du Congo et a appelé à une élite éduquée et engagée pour façonner l’avenir du pays.
En suivant les enseignements d’Isidore Ndaywel è Nziem, il est crucial que les sciences humaines, l’histoire et l’éducation en RDC se positionnent comme des forces motrices du changement sociopolitique. En comprenant le passé, en s’engageant dans le présent et en planifiant l’avenir, ces domaines peuvent jouer un rôle déterminant dans la construction d’une nation prospère et harmonieuse.
New-messager-de-la-paix.net/Bertin kangamotema