Shanice et son ouvrage « vérité partagée ou pas », partie intégrante de la solution aux problèmes dont souffrent l’Afrique et la Rdc.

Shanice et son ouvrage, « Vérité partagée ou pas » s’avère être une partie intégrante de la solution aux problèmes dont souffrent l’Afrique et la RDC. » il suffit de parcourir de bout en bout  son cursus académique et professionnel, son chef d’œuvre socio-culturel déjà paru en 2019 aux éditions Baudelaire ainsi qu’un autre en cours d’édition pour bien s’en rendre compte.
Ouvrage de 122 pages, «VERITE PARTAGEE OU PAS » est, au propre comme au figuré, une mine de conseils pratiques et d’astuces nécessaires au développement de nos sociétés frappées de plein fouet par des vices et antivaleurs et ce, au titre de contributions en ce qui concerne les meilleures pratiques en matière de relations (homme-femme) empreint de dignité et de moralité publique ou privée.
A travers les lignes, l’auteure partage une bonne part de vérités aux jeunes et adultes qui veulent réussir dans leurs entreprises familiales, individuelles soient-elles et ce, dans divers domaines de la vie.
Elle y donne quelques pistes de solutions et astuces susceptibles d’aider à se départir de plusieurs antivaleurs qui collent à la peau d’un grand nombre de contemporains.
Ses argumentaires développés apparaissent comme des remèdes aux déficits comportementaux pourtant indispensables à la gouvernance sociétale aujourd’hui plus qu’hier, une gouvernance fondée sur l’éthique et la responsabilité individuelle et communautaire en tant que vérité qui est, autant que l’amour et l’unité, des valeurs cardinales quelques soient les sociétés.
Sorti des sentiers battus, « VERITE PARTAGEE OU PAS » fait la différence et constitue une véritable inspiration pour les générations présentes et futures.
Pour Shanice, « Il est temps pour toutes les femmes de faire changer notre univers de paillettes en un plus grand, plus vrai et surtout plus représentatif».
Shanice prodigue des conseils sur des choix portés notamment sur le look, la mode, l’apparat et sur l’accoutrement en public comme en privé consciente que la bonté et la beauté sont deux choses qui ne s’opposent pas, mais qui au contraire vont de pair.
Véritable vade-mecum comportemental et en gestion, l’ouvrage en appelle à la maturité, à la personnalité sans trop se mesurer aux autres. La jeune auteure en appelle donc à être soi-même.

L’éthique et la responsabilité, vivement prônées
Paraphrasant mademoiselle Chanel, Shanice note ceci : « n’hésitez pas à changer de style », car « la mode se démode, mais jamais le style ». De plus, « la mode n’est ni morale, ni amorale, mais elle est faite pour remonter le moral », paroles de Karl Lagerfeld. Aussi, et à moins d’en faire son business, le shopping à haute dose est une perte de temps et d’énergie. Néanmoins, ceci ne doit pas être une excuse pour s’habiller d’une manière déplorable. La vie est trop courte pour s’habiller « comme un sac.»

Shanice plaide pour des «RELATIONS HOMMESFEMMES» saines, qui ne découlent pas d’un attachement psychologique pour un individu malencontreusement néfaste pour soi.
En cette matière de relation, elle conseille de cacher son amour dans son cœur au risque de voir ce dernier se retrouver en mille morceaux suite au fanatisme et aux penchants fétichistes.
Dès lors que nous avons des sentiments pour quelqu’un, ceux-ci prennent une place importante.
Elle fustige ces hommes qui à un moment et dans certaines circonstances de la vie choisissent le pouvoir au lieu de l’élue de leurs cœurs. Ceci est selon Shanice, la preuve qu’ils n’ont rien compris en privilégiant le confort.

« Ne cours pas après le bonheur. Attrape-le au vol, là où tu es ! » Et de plus, d’après Christian Dior, le bonheur est le secret de toute beauté. Il n’y a pas de beauté sans bonheur. Le bonheur est donc partout.

« Avant de vivre à deux, mieux vaut d’abord apprendre à vivre seul. Parce que le contraire pourrait ne pas être charmant. Mais si vous tenez à le faire, sachez que « ce qui empêche les gens de vivre ensemble, c’est leur connerie, pas leur différence », d’après « Anna Gavalda ».
Etant tous différents la vie peut se révéler parfois être un cauchemar existentiel.
Pour éviter ce casse-tête, elle se pose cette fameuse question à savoir « pourquoi ne pas tout simplement embrasser l’art, le chant, la musique, la danse ou «la comédie ? ».
DE LA VIE, Shanice nous rappelle que « elle n’est pas un long fleuve « tranquille », et que « les séries télévisées qui le montrent sont de très « bonnes séries ». Sans oublier le fait que très souvent « nous avons tendance à voir la vie plus belle « ailleurs ».

Quand les dictons éduquent et guident la vie


Shanice recourt aux dictons pour faire passer des conseils de vie valorisant la culture de son Afrique, où les liens du sang sont les plus difficiles à défaire. Elle a toutes les raisons de partager la vérité même si plusieurs n’osent le faire. Elle fait inculquer les valeurs d’amour,
d’unité et de cohabitation surtout dans le quotidien car dit-elle, « si vous avez en vous de la haine, de l’orgueil, de la méchanceté ou de la jalousie, il faut faire abstraction de ces sentiments […] pour mieux vivre dans la cohabitation», car «ils n’en valent pas la peine».
On trouve également parmi ces dictons, les meilleures pratiques de vie au quotidien : « considérez votre langage, vos fréquentations et votre franchise», « ayez de l’estime pour le courage, la conduite, la patience et la sincérité» , « quand vous déconnez, c’est à vous-même que vous faites du « mal», « en amour ou en amitié, un grand cœur ne s’offre pas à n’importe qui ».

« VERITE PARTAGEE OU PAS » est également un ouvrage pédagogique.
Shanice conseille de s’imposer une quantité et une qualité de travail, et surtout de ne pas laisser son bonheur dépendre d’une autre personne que soi-même.
Dans tous les cas, cet ouvrage très recommandé invite tout lecteur à être un modèle de joie de vivre.

Shanice, une jeune femme qui voit grand


SHANICE dispose également d’un bon nombre de projets culturels, scientifiques et autres en faveur de la jeunesse africaine qu’elle se montre disposée à accompagner.
Elle est bien décidée à conforter sa place et celle de la jeunesse féminine dans le monde des affaires et scientifique, surtout pour les jeunes femmes et jeunes filles qui se lancent dans l’entreprenariat et dans des projets artistiques et socioculturels.

A bien lire son portrait on se rend compte qu’elle se distingue par son goût d’innovations, sa détermination pour le « beau » et la « vérité ». Ce dont les gouvernants africains en général et congolais en particulier se doivent de capitaliser et encourager, pour le bien du continent et du pays.
Elle s’est aussi imprégnée d’autres cultures qui représentent autant d’atouts pour la RDC et l’Afrique, laquelle pourrait en profiter en les incluant dans ses bases de données des ressources humaines et techniques.

Décomplexée, mieux formée et informée, bien aguerrie en Administration et gestion des affaires, elle est prompte à engager des pourparlers et à négocier sur des marchés en faveur du pays et du continent en ce moment où les économies et le social des pays africains ont subi de sérieux revers avec la pandémie du Covid-19 et actuellement avec les effets de l’invasion Ukrainienne
par la Russie.

Sans fausse modestie, l’auteure de l’ouvrage « VERITE PARTAGEE OU PAS » qui a une autre œuvre en préparation, est une véritable force d’action et de réflexion dont la RDC et l’Afrique ont bien besoin en ce moment de renaissance post-Covid-19 et de crise internationale du fait de la guerre en Ukraine.

Shanice, appartient à une nouvelle classe de scientifiques et de jeunes penseurs congolais « mondialisés », décomplexés, entreprenants et prêts à servir leur pays et leur continent d’origine où qu’ils soient. Pourvu que les gouvernants africains et particulièrement congolais lui fassent confiance. Elle fera bien sans nul doute, partie intégrante des solutions aux problèmes multiformes
dont souffrent le continent africain et la République Démocratique du Congo. Elle reste ambitieuse quant à sa contribution au développement de l’Afrique et particulièrement de la RDC.
« A travers mes publications et recherches scientifiques ainsi que mes participations dans des forums, j’essaie de démontrer qu’avec de la volonté, de la détermination et surtout de la créativité, je peux avec d’autres jeunes africains faire partie intégrante de la solution aux problèmes dont souffre l’Afrique ».

Lu pour vous par New-Messager- de- la- Paix.net

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