La capitale française a été, du 13 au 15 juin 2024, le théâtre d’un événement majeur pour les défenseurs de la liberté d’expression. L’Association des Cours Constitutionnelles Francophones (ACCF) a tenu ses assises au prestigieux Conseil constitutionnel de France, abordant le thème crucial de la protection constitutionnelle de la liberté d’expression.
La République Démocratique du Congo (RDC) s’est distinguée lors de ce sommet scientifique par la présence de son éminent représentant, le président de la Cour constitutionnelle et du Conseil supérieur de la magistrature, Dieudonné Kamuleta.
Accompagné du juge François Bokona et d’autres collaborateurs, M. Kamuleta a partagé l’expérience unique de son pays en matière de jurisprudence relative à la liberté d’expression au 21e siècle.
Face aux défis posés par les réseaux sociaux et l’évolution numérique, le président Kamuleta a mis en lumière les avancées significatives réalisées par la haute Cour congolaise.
Ses arrêts ont reflété une adaptation remarquable aux réalités modernes, contribuant ainsi à façonner un cadre juridique robuste pour la protection des droits fondamentaux.
En signe d’estime et de reconnaissance, Dieudonné Kamuleta a offert un cadeau symbolique à huit dirigeants des hautes juridictions francophones.
Ce présent était composé de documents clés définissant les compétences et le fonctionnement de la Cour constitutionnelle congolaise, ainsi qu’un fascicule détaillant sa jurisprudence.
L’intervention du président congolais a suscité l’admiration unanime de ses pairs francophones, marquant ainsi l’événement par son éloquence et sa pertinence.
Les travaux se sont achevés le vendredi, couronnés par une visite touristique du château de Chantilly prévue pour le samedi.
New-messager-de-la-paix.net/Bertin kangamotema
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